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Enseignements et Etudes Bibliques-chants-poésies--

Etudes bibliques,Poésies,Chants,.........Jardinage, cela vous interresse-t-il? les études bibliques ont pour outils de base les bibles Darby-Le Semeur-louis Segong-la bible oneline-Le Grand Guide de la Bible-

la repentance

 La repentance

 

Recevoir l’évangile, est-ce simple ou difficile ?

 

Nous qui, par grâce, sommes « justifiés sur le principe de la foi » (Rom. 5:1), 

 

« la repentance envers Dieu et la foi en notre seigneur Jésus Christ » (Actes 20:21). 

« Repentez-vous, car le royaume des cieux s’est approché » (Matt. 3:2 ; 4:17). 

« il fallait que le Christ souffrît, et qu’il ressuscitât d’entre les morts le troisième jour, et que la repentance et la rémission des péchés fussent prêchées en son nom à toutes les nations, en commençant par Jérusalem » (Luc 24:46, 47).

 C’est ainsi que Pierre, à Jérusalem même, pouvait dire aux Juifs dans son premier discours : « Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus Christ, en rémission des péchés » (Actes 2:38-39).

Nous comprenons donc que se repentir, c’est le premier pas à faire dans le chemin de la foi et, par la grâce de Dieu, nous avons été amenés à cela — « repentance envers Dieu »

— et nous avons ensuite saisi le salut par « la foi en notre seigneur Jésus Christ » (Actes 20:21)

Notre Dieu est un Dieu miséricordieux et plein de grâce, Il se plaît à bénir, Il y trouve sa joie, mais Il ne peut le faire que lorsque le péché a été confessé, qu’il s’agisse d’un inconverti ou d’un croyant qui a bronché en chemin.

Ce qu’Il attend pour ouvrir son cœur et ses bras, c’est cette parole qui, lorsqu’elle est dite avec sincérité, traduit une vraie repentance : « J’ai péché »

 

CONFESSION ET CONFIANCE

L’exemple des deux aveugles de Matthieu 20 (v. 29 à 34) illustre l’enseignement déjà rappelé d’Actes 20 à propos de « la repentance envers Dieu et la foi en notre seigneur Jésus Christ ».

« Aie pitié de nous, Seigneur, Fils de David », et encore, après que la foule les eut repris, « ils criaient plus fort, disant : Aie pitié de nous Seigneur, Fils de David ». Mais ils ne se contentent pas d’une confession
Dieu se réjouit quand il y a repentance (2 Pier. 3:9 ; Luc 15:7)

Aujourd’hui encore, l’évangile est prêché dans ce monde et des pécheurs sont invités à se repentir.

 ainsi que l’écrit l’apôtre Pierre :

« Il est patient envers vous, ne voulant pas qu’aucun périsse, mais que tous viennent à la repentance » (2 Pierre 3:9).

 Tel est le désir de son cœur : que tous viennent à la repentance ! Parce que tous ont à se repentir. 

Hélas ! comme aux jours où le Seigneur était sur la terre, il y a encore tant de « justes qui n’ont pas besoin de repentance » (Luc 15:7), c’est-à-dire des hommes qui se croient justes, qui le sont à leurs propres yeux et estiment par conséquent n’avoir aucune raison de se repentir.

Quel aveuglement et quelle méconnaissance de ce que Dieu enseigne dans sa Parole ! S’il veut que « tous viennent à la repentance » c’est bien parce qu’il n’est pas un seul homme qui n’ait à se repentir

 

Comment un inconverti ou un croyant qui a péché peuvent-ils être conduits à cette repentance qui ouvre la porte à la bénédiction divine, mais qui est tellement en opposition avec les tendances de nos cœurs naturels ?

 Il faut que la grâce de Dieu opère et produise un profond travail de repentance. De telle sorte que si nous sommes conduits à nous repentir, il ne faut pas nous en glorifier et nous croire en cela meilleurs que d’autres ; c’est « la bonté de Dieu » qui « pousse à la repentance » (Rom. 2:4).

 

 - La bonté de Dieu le pousse à la repentance

 

C’est la bonté de Dieu qui a conduit David à se repentir. Il avait commis un grave péché (2 Sam. 11:4-5), péché qu’il espérait pouvoir cacher à son entourage.

Pour cela, il en commet un second (v. 15 à 17). Ne jetons pas la pierre à David !

 

Ne nous est-il pas arrivé aussi d’être conduits à un deuxième manquement pour essayer de dissimuler le premier ?

Comme David autrefois, nous oublions que l’on ne peut rien cacher à Dieu et qu’Il découvre ce que nous essayons de couvrir.

 Dieu opère pour réveiller une conscience endurcie, qui n’a pas le sentiment du péché commis.

 

Le résultat de ce travail, c’est la repentance

 David déclare alors : « J’ai péché contre l’Éternel » (2 Sam. 12:13).

Le Psaume 32, le Psaume 51 traduisent les sentiments éprouvés par David, dans son cœur et sa conscience, avant qu’il ne se repente :

 « Quand je me suis tu, mes os ont dépéri… » (Ps. 32:3-4)

lorsqu’il confesse son péché : il déclare « Car je connais mes transgressions, et mon péché est continuellement devant moi.

Contre toi, contre toi seul, j’ai péché… » (Ps. 51:3-4 et suivants) — et enfin, après qu’il s’est repenti : « Tu as pardonné l’iniquité de mon péché…

Tu m’entoures des chants de triomphe de la délivrance… » (Ps. 32:5, 7).

Comme elle fut profonde, la repentance de David 

 

 

EXEMPLE DES PHARISIENS

 

Ce que Dieu désire, c’est une vraie repentance et non pas seulement quelques mots prononcés des lèvres sans qu’il y ait un véritable travail de cœur et de conscience.

Des pharisiens et des sadducéens venaient au Jourdain pour être baptisés par Jean du baptême de la repentance ; ils répondaient, extérieurement, à l’appel qui avait retenti dans le désert de Judée : « Repentez-vous, car le royaume des cieux s’est approché ».

Pouvait-on s’en réjouir ? Y avait-t-il « de la joie au ciel » ?

 En aucune manière. Car Dieu discerne la réalité qu’une trompeuse apparence recouvre.

Et Jean est amené à dire à ces hommes : « Race de vipères, qui vous a avertis de fuir la colère qui vient ? Produisez donc du fruit qui convienne à la repentance… » (Matt. 3:2 et 7, 8 — cf. Luc 3:3 à 8).

La repentance ne doit pas être des lèvres seulement, elle doit être vue, dans ses fruits.

Pharisiens et sadducéens ne voulaient pas rester à l’écart ; considérant les foules qui allaient se faire baptiser au Jourdain, ils estimaient que, pour conserver sur elles l’autorité dont ils étaient jaloux, ils devaient s’associer à ce qu’ils prenaient pour une sorte de mouvement religieux.

Sans doute pensaient-ils qu’en agissant ainsi ils maintiendraient sous leur joug ces foules qui risquaient de leur échapper.

Ils manifestent donc une certaine repentance mais elle n’est qu’extérieure ; sans aucun fruit, elle est sans valeur aux yeux de Dieu car Dieu veut de la réalité et non des formes extérieures recouvrant un état que l’on cherche à cacher.

 

ISRAËL

- Quand Israël eut peur de prendre possession de Canaan

L’Ancien Testament nous donne aussi quelques exemples d’une repentance superficielle.

« Et à votre retour vous pleurâtes devant l’Éternel ». Mais il n’y avait pas plus de réalité dans leurs larmes qu’il n’y en avait eu précédemment dans leurs paroles ; aussi Moïse ajoute : « et l’Éternel n’écouta point votre voix et ne vous prêta point l’oreille » (Deut. 1:32 à 45).

 

SAÜL ET AMALEK

L’histoire de Saül nous offre un autre exemple d’une repentance superficielle. Après avoir entendu les paroles de Samuel (1 Sam. 15:16 à 23), Saül déclare :

« J’ai péché, car j’ai transgressé le commandement de l’Éternel et tes paroles », mais il n’y a là aucune vraie humiliation ; au fond, s’il a agi ainsi c’est, d’après lui, la faute du peuple et non la sienne, car il ajoute : « j’ai craint le peuple et j’ai écouté leur voix »

On peut assurer : « J’ai péché », on peut le répéter, ce ne sont que mots qui n’ont aucune valeur pour Dieu s’ils ne traduisent pas ce qu’il y a dans le cœur, s’il n’y a pas le fruit qui convient à la repentance.

 

il n’y a en fait aucun travail intérieur de repentance, il y a simplement une attitude extérieure, des paroles qui peuvent en certains cas tromper les hommes mais jamais Celui dont il nous est dit qu’Il connaît tous les hommes et ce qui est dans l’homme (cf. Jean 2:24, 25).

 

Ceux qui refusent délibérément de se repentir

L’Écriture nous parle aussi d’un refus délibéré de se repentir

 — Dieu donne du temps aux hommes pour se repentir, c’est le temps de sa patience (cf. 2 Pierre 3:9),

Il donne du temps aussi à un croyant qui a manqué, qui peut-être jusque-là a refusé de se repentir, laissant son cœur s’endurcir.

Et même la Jésabel de Thyatire ,  tellement coupable pourtant, a eu du temps pour se repentir, si elle l’avait voulu : « Et je lui ai donné du temps afin qu’elle se repentît ; et elle ne veut pas se repentir de sa fornication » (Apoc. 2:20, 21).

Elle « méprise les richesses de sa bonté, et de sa patience, et de sa longue attente », elle « ne connaît pas que la bonté de Dieu pousse à la repentance » (Rom. 2:4), « elle ne veut pas se repentir »

 De même, les jugements apocalyptiques laisseront les hommes qui ne seront pas détruits par eux dans un état semblable à celui de Jésabel : ils ne se repentiront pas (cf. Apoc. 9:20, 21 ; 16:8-11).

 

REMORDS OU REPENTANCE

En dehors de la repentance superficielle et du refus de se repentir, il y a encore le retour sur la faute qui se manifeste alors qu’il est déjà trop tard pour se repentir.

 Tel fut le cas de Judas : « Alors Judas, qui l’avait livré, voyant qu’il était condamné, ayant du remords, reporta les trente pièces d’argent aux principaux sacrificateurs et aux anciens, disant : J’ai péché en livrant le sang innocent.

Mais ils dirent : Que nous importe ! tu y aviseras. Et ayant jeté l’argent dans le temple, il se retira ; et s’en étant allé, il se pendit » (Matt. 27:3 à 5).

Trop tard aussi pour Ésaü « qui pour un seul mets vendit son droit de premier-né ; car vous savez que, aussi,plus tard, désirant hériter de la bénédiction, il fut rejeté, (car il ne trouva pas lieu à la repentance), quoiqu’il l’eût recherchée avec larmes » (Hébr. 12:16, 17).

 — De Judas, d’Ésaü, d’autres encore sans doute, il peut être dit ce qui est dit du Pharaon : « il a laissé passer le temps » (Jér. 46:17). Combien il est sérieux de « laisser passer le temps » durant lequel on peut encore se repentir !

 

La repentance n’est pas seulement individuelle, elle doit présenter parfois un caractère collectif.

Il est très frappant de remarquer que, dans les chapitres 2 et 3 du livre de l’Apocalypse, qui retracent l’histoire de l’Église responsable sur la terre pendant le temps de l’absence du Seigneur, un appel à la repentance est adressé dans chacune des sept épîtres, sauf dans deux d’entre elles : celles écrites à Smyrne et à Philadelphie.

 La première des deux est caractérisée par la fermeté dans l’épreuve, la seconde par la fidélité dans la faiblesse.

 Dans les épîtres adressées aux cinq autres, il y a chaque fois cette exhortation : « Repens-toi », ou une exhortation analogue (2:5, 16, 21, 22 ; 3:3 et 19). Éphèse, Pergame, la Jésabel de Thyatire, Sardes et Laodicée sont invitées à se repentir. —

La deuxième Épître aux Corinthiens nous donne un autre exemple de repentance collective ; l’apôtre écrit « à l’assemblée de Dieu qui est à Corinthe, avec tous les saints qui sont dans l’Achaïe tout entière » : « Maintenant je me réjouis, non de ce que vous avez été attristés, mais de ce que vous avez été attristés à repentance… Car la tristesse qui est selon Dieu opère une repentance à salut dont on n’a pas de regret… » (2 Cor. 1:1 ; 7:9, 10).

 

Que de motifs nous avons aujourd’hui de nous humilier et de nous repentir, si nous considérons l’état de la chrétienté comme aussi celui du témoignage !

Puissions-nous vraiment être « attristés à repentance » et Dieu veuille que cette repentance ne soit pas superficielle ! Écoutons l’exhortation adressée autrefois par l’Éternel au peuple d’Israël : « Revenez à moi de tout votre cœur, avec jeûne, et avec pleurs, et avec deuil ; et déchirez vos cœurs et non vos vêtements… »,

c’est-à-dire : gardez-vous de ce qui n’aurait qu’une apparence extérieure, comme le fait de déchirer ses vêtements ; que votre humiliation soit profonde et sincère ! (Joël 2:12 à 14).


 

Il faut souvent un long et patient travail de Dieu en nous pour nous conduire à une semblable repentance.

Lisons le livre de Job, nous verrons avec quelle sagesse et quelle patience Dieu a opéré, soit par le moyen d’instruments soit directement Lui-même, dans le cœur et la conscience du patriarche.

Mais quels résultats produits ! Quel exemple d’une vraie et profonde repentance !

 

 En vérité Job a pu dire à l’Éternel : « Je sais que tu peux tout, et qu’aucun dessein n’est trop difficile pour toi. Qui est celui-ci qui, sans connaissance, voile le conseil ?

J’ai donc parlé, et sans comprendre, de choses trop merveilleuses pour moi, que je ne connaissais pas. Écoute, je te prie, et je parlerai ; je t’interrogerai, et toi, instruis-moi. Mon oreille avait entendu parler de toi, maintenant mon œil t’a vu ».

 Et il termine par ces paroles qui disent jusqu’où a été le travail de Dieu en lui : « C’est pourquoi j’ai horreur de moi, et je me repens dans la poussière et dans la cendre » (Job 42:1 à 6).

Pouvoir exprimer cela en vérité, c’est témoigner d’une réelle et sincère repentance et c’est le vrai chemin de la bénédiction : « Et l’Éternel bénit la fin de Job plus que son commencement » (Job 42:12).

 Dieu pardonne à celui qui se repent — c’est d’ailleurs sur le même principe que nous sommes exhortés à nous pardonner les uns aux autres : « Si ton frère pèche, reprends-le, et s’il se repent, pardonne-lui… » Luc 17:3, 4  


 

ensuite, Il peut bénir.

Si Dieu pardonne à tout pécheur qui se repent, c’est en vertu de l’œuvre expiatoire de Christ.

Le sang de Christ a coulé à la croix, de son côté percé, et ce sang, dont la valeur aux yeux de Dieu est infinie, nous purifie de tout péché.

Dieu peut donc assurer un plein pardon au pécheur repentant qui se place sous la parfaite efficace du sang d’expiation.

 Sa Parole nous le dit aussi clairement qu’il est possible : « Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés, et nous purifier de toute iniquité » — « Le sang de Jésus Christ son Fils nous purifie de tout péché » 1 Jean 1:9 et 7

Mais Dieu n’assure le pardon que s’il y a d’abord une vraie repentance

 — « Si nous confessons nos péchés… »

— car, agir autrement serait passer à la légère sur le péché, ce qui est impossible puisque « Dieu est lumière » et qu’Il a « les yeux trop purs pour voir le mal » 1 Jean 1:5 ; Habakuk 1:13

L’ennemi déploie ses efforts et multiplie ses ruses pour répandre dans la chrétienté tant de fausses doctrines qui, en définitive, sous des apparences très différentes, ont au moins un point commun : elles tendent à affaiblir dans l’âme le sentiment du péché, en en atténuant plus ou moins le caractère et les conséquences.

Même dans la marche pratique du croyant le plus attaché au sain enseignement, il peut y avoir aussi une certaine inclination à penser que l’on peut bien, après tout, ne pas y regarder de si près :

nous sommes faibles, dira-t-on, incapables souvent de résister à la tentation, notre manquement est si peu de chose et d’autres autour de nous font bien pis encore ;

autant de mauvaises raisons que l’adversaire vient nous suggérer pour nous faire passer à la légère sur le péché commis.

— son expiation n’a-t-elle pas nécessité l’horreur des trois heures sombres, au cours desquelles Dieu a dû abandonner Celui qui portait alors l’éternité de notre châtiment

 Disons-le : au fond, c’est véritablement là ce qui est à la base d’à peu près tous les maux dont nous souffrons et sur lesquels nous gémissons.

 Si nous avions toujours la juste appréciation de ce qu’est le péché aux yeux de Dieu  — son expiation n’a-t-elle pas nécessité l’horreur des trois heures sombres, au cours desquelles Dieu a dû abandonner Celui qui portait alors l’éternité de notre châtiment ? 

— nous serions amenés à porter sur un péché commis le même jugement moral que Dieu porte sur lui et, par suite, à réaliser cette vraie confession, cette « repentance envers Dieu » qui nous conduirait à goûter pleinement la joie de la communion, avec toute la bénédiction qui en découle.

 

 Est-ce trop de dire que nos vies individuelles, comme aussi la vie de l’assemblée, en seraient transformées ?

 

 

Pour cela, pour nous « pousser à la repentance », il faut toute « la bonté de Dieu », qui se manifeste en particulier dans l’exercice du ministère du Seigneur comme « avocat auprès du Père » (1 Jean 2:1).

Avec des cœurs soumis, notre volonté propre étant brisée, laissons le Seigneur remplir à notre égard, lorsque nous avons péché, ce service d’amour !

 Qu’ainsi nous soyons délivrés de cette tendance que nous avons à toujours chercher à nous justifier et qui est celle du cœur naturel, aussi bien chez l’incrédule que dans le croyant

 

— et cela dès le commencement  Gn. 3:12

Que Dieu nous donne des cœurs droits devant Lui, qui sachent reconnaître ce en quoi nous avons manqué et s’en humilier !

 Qu’Il nous garde de toute propre justice qui estime n’avoir pas besoin de repentance, comme aussi de cette repentance superficielle qui nous fait déchire près tous les maux dont nous souffrons et sur lesquels nous gémissons.

 Si nous avions toujours la juste approche, ostensiblement peut-être, nos vêtements sans que nos cœurs soient touchés !

Et n’oublions jamais qu’Il se plaît à bénir et que, chaque fois que cela est nécessaire, Il attend pour nous pardonner, nous délivrer, nous bénir, que nous ayons exprimé les paroles qui traduisent notre sincère et profonde repentance !

EXTRAIT DE  1961

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